Après le chauffe main gaming, Be-quipe se lance le défi de réinvienter la chausse en commercialisant une paire de chaussettes gaming, les Falcons ! Découvrez et soutenez le projet Falcons sur Kickstarter.
Pourquoi des chaussettes gaming ?
On a tendance à vite oublier l’importance de posséder une bonne paire de chaussettes. Vous ne mettez pas la même paire selon les conditions climatiques, les chaussures que vous portez et aussi, selon vos activités. Les bas de compression servent généralement à optimiser la circulation du sang, à mieux oxygéner le coeur durant l’effort et donc à améliorer les performances du sportif.
Inspirées des bas de compression les Falcons sont pensées pour les joueurs afin d’optimiser la circulation du sang, garder au chaud les pieds, évacuer les mauvaises odeurs et grâce à une semelle légère, le joueur peut se déplacer librement sans enfiler une paire de chaussons. Sans délaisser le confort, le design a bien sûr été pensé pour coller aux goûts des gamers.
Forcément au départ on est assez dubitatif face au projet. Il faut dire que ces dernières années nombre de produits ont ajouté dans leur nom le mot esport ou gaming pour se trouver une nouvelle cible, celle des fans de jeux vidéo et des joueurs compétitifs. Mais ce n’est pas une première pour Be-quipe qui a déjà conquis le coeur des joueurs et qui avait déjà cherché à créer un produit utile pour les joueurs compétitifs le Kaliento, un chauffe main pratique déjà commercialisé.
Quézako le Kaliento ?
Le Kaliento est un chauffe main électronique. Si vous n’en voyez pas l’intérêt, les joueurs compétitifs eux, en ont rapidement besoin durant les compétitions. Il n’est pas rare de voir des joueurs souffler et se frotter les mains pour les réchauffer. Certains événements comme l’Overwatch League mettent même à disposition des joueurs des chaufferettes. Le chauffe main sert simplement à lutter contre le refroidissement des mains entre deux parties et ainsi à garder un excellent taux de réactivité et de dextérité.
Source images: Kickstarter Falcons.
