POINTS POSITIFS :
POINTS NÉGATIFS :
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Éditeur : Atlus |
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Le joueur prend le contrôle de Sarah, une jeune femme qui reprend conscience dans un hôpital abandonnée, équipée d’un smartphone sans avoir un quelconque souvenir de comment elle est arrivée ici. Le joueur se guide ainsi à l’aide du smartphone qui intègre une carte, ce même téléphone qui permet d’éclairer les salles obscures et qui de plus permet de repérer les êtres maléfiques qui rodent dans les couloirs.
Du début à la fin du jeu, une voix nous parle et nous donne quelques indications notamment sur l’endroit où nous nous trouvons et quelques détails peu intéressants auxquels nous ne prêtons pas tellement attention étant submergé par cette fabuleuse ambiance des plus sombres qui fait honneur au jeu.
Le joueur épris par cette ambiance ne cessera de réagir aux apparitions fantomatiques les plus inattendus. Invité à ramasser ici et là les pages d’un recueil, des photos, petits papiers, lesquels racontent les mésaventures des employés de l’hôpital et permet d’éclairer le joueur sur le profil de ce personnage qu’il incarne. Des informations qu’il devra obligatoirement récupérer afin de progresser dans le jeu.
Le gameplay est relativement simpliste, le joueur ne dispose d’aucune arme mais peut toutefois récupérer des lightSticks et des torches.
Les lightsticks servent à vous guider et à révéler les fameuses notes, et des « vestiges » qui sont en fait presque le même principe que dans Slender, quand le joueur trouve les 5 Vestiges, il vous faut ensuite trouver une sorte d’ « artefact » comme une poupée, une paire de ciseaux, une bible etc…
Qui vont vous déverrouiller la prochaine map en vous rapprochant du sceau qui protège la porte.
Plus vous déverrouillez de porte scellées, plus vous avancez dans l’hôpital et donc plus vous vous rapprochez de la liberté. Bien évidemment plus vous vous rapprochez de la liberté, plus les monstres sont susceptibles d’apparaître. Les fusée éclairante ne servent qu’à faire disparaître les apparitions qui vous font si peur.
CONCLUSION
J’attendais avec impatience ce jeu qui avait l’air « presque » sympa puisqu’il utilise le moteur graphique Unreal Engine 4 qui le rend plutôt beau graphiquement, mais pour ma part je pense que Zombie Studios, les développeurs se sont trop concentrés sur l’histoire plutôt que sur les énigmes et les monstres qui vous poursuivent. Ils auraient pu marquer un peu plus les joueurs en tentant de jouer bien plus sur le côté horreur. Le jeu dispose toutefois d’une bonne ambiance générale, le joueur ne cesse de ce questionner sur qui est le personnage qu’il contrôle. Malgré ses défauts, sa durée de vie de 3 heures et son prix, Daylight est toutefois un bon jeu de survival-horror qu’il faut essayer.
Test du jeu effectué sur PC (version digitale) via une clé envoyée par l’éditeur.
dommage qu’il ne soit pas mieux exploité 🙁
Pas mal j’hésite a me le prendre parceque 10 euros pour 3 heures je préfère attendre et économiser pour un meilleur jeu